P.1887/10 [Een steenbakkerij, ’s middags, zomer] [Une briqueterie, midi, été]-
La comparaison de ses premiers paysages montre comment Baertsoen est passé en quelques années du statut de débutant en quête d’inspiration à celui de peintre de plein air reconnu, qui a su combiner l’ambition - travailler avec des formats relativement grands pour son âge - avec des compositions de paysages convaincantes. La parenté avec les artistes de l’école de Termonde est indéniable, non seulement dans le choix des sujets (vues animées de fermes et coins de village) mais aussi en raison de la touche un peu floue également dans le domaine technique. Bientôt, comme dans cette vue d’une briqueterie, il emprunte une voie plus progressive : la couleur devient claire, le pinceau libre, presque pré-impressionniste. Ce tableau est très remarque lors de l’exposition de L’Essor en 1888
P.1887/10 [Een steenbakkerij, ’s middags, zomer] [Une briqueterie, midi, été]-